Des chercheurs de l’Université d’Ottawa étudieront l’utilisation que font les canadiens des médias sociaux, afin de détecter et surveiller les personnes qui présentent un risque de problème de santé mentale. Conjointement avec des chercheurs albertains et de France, la professeure Diana Inkpen compte utiliser un algorithme pour étudier divers symptômes ou comportements.
L’étude durera trois ans et ses conclusions seront partagées avec le monde scientifique et médical afin de créer de meilleurs outils d’intervention.