Le temps presse pour l’Université de l’Ontario français, alors qu’à partir du 15 janvier, elle ne pourra plus mettre la main sur du financement.

Il s’agit en effet d’une conséquence des coupes du gouvernement ontarien concernant les services en français, annoncées plus tôt l’année dernière.

L’Assemblée de la francophonie de l’Ontario demande au gouvernement de sauver l’institution, en déposant une demande de financement auprès du fédéral.

Si rien n’est fait avant mardi prochain, l’Université de l’Ontario français perdra ses employés et ses artisans.

Linda Cardinal, professeure et titulaire de la Chaire de recherche sur la francophonie à l’Université d’Ottawa.