L’émergence de commerces de vente de cannabis comme Weeds, Glass & Gift est un véritable casse-tête pour les villes et les corps policiers. Selon la criminologue de l’Université d’Ottawa Line Beauchesne, les policiers hésitent à entamer des recours judiciaires à quelques mois d’une possible légalisation du cannabis à fins récréatives. De plus, ces commerces, qui opèrent à titre d’organisme à but non-lucratif, sont dans une zone grise.
Mme Beauchesne croit que de gros joueurs de l’industrie du cannabis tentent de se positionner en prévision d’une relaxation de la loi. Par contre, Mme Beauchesne s’inquiète de voir qu’à l’exemple de Weeds, la marijuana n’est pas toujours vendue dans des cliniques médicales reconnues